Emplacement du terrain Trammond donné par les Américains
Trammond : Cantal near the border of Corrèze (Area code 4) - Terrain : Puy Quinsac - (near D145) Inbetween La Besse and Rolière. W. of Rilhac-Xaintrie - 4.75 kms N.W. Pleaux. (45º09'02" N. 02º10'09" E.)
Trammond : Cantal à la frontière de la Corrèze (Indicatif régional 4)
-Terrain : Puy Quinsac - (prés de la D 145) Entre la Besse et Rolière Ouest. de Rilhac-Xaintrie - 4,75 Kms Nord.Ouest Pleaux.
(45°09'02" Nord. 02°10'09" Est.
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Jean DAUTREMENT
Né(e) le/en 26-12-1915 à Paris 18e arrondissement (75 - Paris (ex Seine), France)
CarrièreFamille résistance forces françaises de l’intérieur (FFI)
Cote(s)Service historique de la Défense, Vincennes GR 16 P 159834
ALIAS : Hennequin - Gérard - Lapoule - Frit B - Baron
Né le 11 Octubre 1913 - Maubeuge (59600 NORD FRANCE)
Décédé 15 Août 1953 - Tay Ninh (VIETNAM)
En 1939, il est affecté comme élève officier à l'Ecole de l'Air à Bordeaux.
Démobilisé à Perpignan en septembre 1940 comme aspirant de réserve, il décide de poursuivre le combat.
Après avoir essayé sans succès de rejoindre l'Angleterre, il entre, fin 1941, dans la Résistance active au sein du mouvement Franc-Tireur créé par Jean-Pierre Levy et Antoine Avinin.
En septembre 1942, Hervé Monjaret, un des responsables du Service des Opérations Aériennes et Maritimes (SOAM) en mission en France, contacte, à Roanne, Gérard Hennebert. Il persuade ce dernier de travailler avec lui à la mission "Frit" d'organisation de terrains de parachutages.
Dès lors, sous les pseudonymes de "Lapoule" ou de "Frit B", Gérard Hennebert prospecte sans relâche, à la recherche de terrains utilisables pour des atterrissages et des parachutages clandestins. Il transmet ensuite les informations aux services de Londres et organise les réceptions principalement dans le département de la Loire.
Engagé dans les FFL, il devient en 1943 un des adjoints de Pierre Rateau, alias Arthur, chef du Centre des Opérations de Parachutages et d'Atterrissages (COPA, ex-SOAM) dans la région de Toulouse (R 4).
Appelé en Angleterre, il s'envole de Saône-et-Loire, le 17 octobre 1943 dans le même avion que le général de Lattre de Tassigny, afin de suivre un stage d'officier opérations.
Deux mois plus tard, Gérard Hennebert est volontaire pour revenir en France et est nommé au commandement des opérations aériennes dans la région R 5 (Corrèze, Creuse, Dordogne, Haute-Vienne, Indre ainsi qu'une partie de l'Indre-et-Loire, de la Vienne et de la Charente). Le premier voyage est malheureux : en raison du mauvais temps, le Halifax ne peut trouver la piste et fait demi-tour. N'ayant plus d'essence, il reçoit l'ordre de sauter en parachute et s'en sort indemne alors que l'appareil s'écrase dans la Manche.
Il est finalement parachuté près de Bordeaux le 5 janvier 1944 et prend ses fonctions immédiatement en remplacement d'André Déglise-Favre, arrêté deux mois plus tôt par la Gestapo. Il prend alors une part active à la réception des armes pour les forces de la Résistance au sein de la Section des Atterrissages et des Parachutages (SAP) - qui a pris la suite du COPA - de la Région R 5. Il exerce également les fonctions de Délégué Militaire Régional par intérim, organisant les maquis et faisant appliquer les ordres émanant de l'état-major des FFI.
Arrêté par la Gestapo avec plusieurs camarades le 5 avril 1944, Gérard Hennebert parvient à s'évader en faisant preuve d'un sang-froid exceptionnel. Il reprend ses activités alors que sa tête est mise à prix.
Dès le Jour J, après avoir placé dans les départements de sa région des responsables, il installe son PC en Corrèze et assure le succès de plusieurs opérations de jour et l'armement de toutes les unités de maquis. Au cours d'une inspection, il est victime d'un grave accident mais il reste à son poste de commandement jusqu'à la libération de sa région.
Une fois le territoire de France libéré, il demande à partir pour l'Extrême-Orient• Chevalier de la Légion d'Honneur
• Compagnon de la Libération - décret du 19 octobre 1945
• Croix de Guerre 1939-1945 (3 citations)
• Croix de Guerre des TOE (1 citation)
• Médaille de la Résistance avec rosette
• Distinguished Service Order (GB)
Guédin et Vaujour ont joué des rôles majeurs lors du parachutage de Moustoulat, le 14 juillet 1944. Ils ont démontré leur stature de chef lors de l'affaire Verdier, le 25 juillet 1944. Ils ont encerclé la ville de Brive et ont harcelé les troupes allemandes jusqu'au moment de la libération de Brive, à laquelle ils ont activement contribué.
Ce parachutage a été effectué par 388e groupe de bombes
388th Bomb Group a effectué une mission de bombardement stratégique depuis Knettishall, Suffolk de juin 1943 à la fin de la guerre. Pendant ce temps, cependant, des détachements ont été envoyés à Fersfield, Norfolk pour mener des missions Aphrodite. Dans ces missions Aphrodite, les bombardiers B-24 vétérans étaient remplis d'explosifs et radiocommandés à partir d'un autre avion pour s'écraser sur une cible spécifique.
Publication avec l'accord de Monsieur ARMAND
Publication avec l'accord de Monsieur ARMAND